Le
café Chez Temporel est un lieu de prédilection pour Bruno
Harvey et Gaston
Portelance où ils discutent de leur préoccupation à propos du temps qui
passe, de l’instant présent infinitésimal.
Depuis 1974, ce café au nom tout à fait approprié comme élément de décor d’un thriller ayant pour thème le temps, accueille plusieurs artistes et touristes enchantés par la simplicité et le calme de cette dite institution du Vieux-Québec. Avec son ambiance sereine à se sentir comme chez choix.
Petit détail non mentionné dans le roman : à l'endos du menu, on peut y lire un extrait du poème d'André Hardelet, Bal chez Temporel, mis en musique par Guy Béart :
« Oui, si tu retournes danser
Chez Temporel, un
jour ou l'autre,
Pense aux bonheurs
qui sont passés
Là, simplement, comme les nôtres »
Source photo :
TripAdvisor