Événements : Les fêtes du Nouvel An sur la Grande-Allée


La trame dramatique du  roman Chronomeurtres s’insère dans quelques-uns des grands événements qui se tiennent annuellement à Québec. 

Le 1er janvier 2014, l’action s’insinue sur la Grande Allée, face à un Manège militaire en ruine à la suite de l’incendie de 2008, en pleines festivités soulignant l’arrivée de la nouvelle année. Depuis six ans, Québec accueille touristes et résidents pour célébrer la nouvelle année en plein air.

Des zones d’animation, des projections lumineuses, des spectacles de musique électro et une grande roue sont de la partie. Des feux d’artifice complètent l’offre festive. 

Cette année-là, des milliers de Québécois bravent un froid sibérien sans se douter qu’une première victime sera découverte derrière l’une des scènes où doit se produire un des DJ québécois les plus prisés.


Source photo : Google

Auteurs et philosophes : Henning Menkell


Dans le roman Chronomeurtres on trouve plusieurs références à des philosophes, des scientifiques, des auteurs de tout genre littéraire qui ont partagé leurs intérêts sur le temps qui passe, sur l’instant présent infinitésimal, sur le futur qui n’est que passé en devenir. 

En page liminaire, on retrouve la réflexion de Henning Mankell tirée de son roman Sable mouvant – Fragments de vie (p. 200) publié en 2015 aux éditions du Seuil. Romancier et dramaturge suédois, tout particulièrement connu comme auteur d'une série policière ayant pour héros l'inspecteur Kurt Wallander du commissariat d'Ystad, une ville de Scanie, près de Malmö, dans le sud de la Suède, Henning Mankell a également publié des ouvrages de littérature d'enfance et de jeunesse. 

Cette citation est extraite d’un récit « débordant d’énergie vitale » au cours duquel « Mankell nous convie à partager le voyage étonnant de son existence, de la solitude des forêts immenses du nord de la Suède à une vie cosmopolite sur plusieurs continents, mais aussi et surtout le voyage invisible, intérieur, qui l’occupe depuis l’enfance. »
 
Source : Wikipedia et éditions du Seuil

Lieux : La rue des Remparts


Les deux protagonistes de roman Chronomeurtres, Bruno Harvey et Gaston Portelance, résident sur la rue des Remparts dans le Vieux-Québec dans deux appartements jumeaux et vétustes qui en font des voisins de paliers. Au dernier étage d’un édifice avec vue panoramique sur le Quartier Limoilou, le Bassin Louise, les Laurentides, la côte de Beauport, le fleuve Saint-Laurent et l’Île d’Orléans. 

La rue des Remparts est située en bordure de la Haute-Ville et s'étend du parc Montmorency à la côte du Palais en forme d'arc de cercle d’environ 800 mètres. Elle tire son nom des remparts érigés sur la falaise pour défendre la ville.

Le site Web de la ville de Québec décrit et raconte l’histoire de cette belle rue de la capitale où se joue le drame.
Source : Wikipedia

Chronomeurtres – Personnages : Bruno Harvey

Bruno Harvey est le personnage principal du roman Chronomeurtres. Originaire du quartier Limoilou de Québec, il est né le 30 juin ou le 1er juillet 1983 à l’hôpital Saint-François d’Assise sur la 1ère avenue. Il est âgé de 30 ans au moment où débute le récit. 

Fils et petit-fils d’horlogers tenant boutique sur la 3e avenue, Bruno Harvey a été imprégné dès les premiers jours de son existence par la sonorité et la cadence des montres et des horloges au point d’en développer une obsession maladive. 

Chevelure foncée, barbe plus ou moins négligée, yeux pers surplombés d’épais sourcils, de taille moyenne, le jeune Limoulois réside sur la rue des Remparts dans le Vieux-Québec. Avec vue sur le quartier de son enfance. 

Solitaire et d’un caractère parfois irascible, il partage son temps entre son emploi de soignant auprès des personnes atteintes du cancer à l’Hôtel-Dieu de Québec et son intérêt pour les réflexions de philosophes sur le temps qui passe. À la recherche d’une solution pour permettre à ses semblables d’accéder à la vie éternelle dans la béatitude.