Au
début d’octobre 2013, au cours des vacances de Gaston
Portelance dans le sud de la France, après « plusieurs tentatives dans Google et dans l’encyclopédie Wikipédia, [Bruno
Harvey] repère le logiciel parfait
pour accéder au Dark Web :
TOR, The Onion Router, comme ses
créateurs l’ont baptisé ; le plus populaire en raison de sa facilité
d’utilisation. »
« Les identifiants et la localisation des utilisateurs demeurent anonymes et ne peuvent être tracés, grâce au système de chiffrement en couches. La technologie de chiffrement des darknets fait transiter les données des utilisateurs à travers des serveurs intermédiaires, ce qui protège l'identité des usagers et garantit l'anonymat.
En raison de l'utilisation de techniques de chiffrement ou de proxies, les services consultés n'ont généralement pas connaissance de l'adresse IP de leurs utilisateurs, de même que les utilisateurs ne peuvent pas avoir accès aux informations concernant l'hébergeur du service caché. De ce fait, les usagers de ces réseaux peuvent échanger sur des forums, créer des contenus sur des blogs ou encore échanger des dossiers de manière anonyme. »
Le fis d’horloger y trouve, sur la page d’un spécialiste en ingénierie biomédicale et en biomatériaux qui se fait appeler Hemostasis ([l'hémostase étant l'ensemble des phénomènes du sang et des vaisseaux sanguins prévenant ou permettant l'arrêt de l'écoulement du sang et ainsi, contrôlant physiologiquement le retour à une circulation normale], la description d’une macromolécule qui semble correspondre à ses attentes. Lui traverse alors à l’esprit une autre citation dont il ne se remémore pas la source : « Le temps arrêté, la stase font partie de l’expérience de l’homme. »
Source texte
: Wikipédia / Image : Frankonfraud