Le
1er juillet 2013, le jour que Bruno
Harvey croît être celui de anniversaire de naissance, Gaston
Portelance l’avait invité prendre un verre au bar de l’hôtel Clarendon. La
conversation tourne au vinaigre à propos d’une certaine seconde
intercalaire. Cet échange contribue d’une manière sournoise à amplifier la
maladie mentale du fils d’horloger qui quitte les lieux en catastrophe.
« Pour sa part, [Gaston Portelance se résigne] à manger seul, au Conti Caffè. Ce souper à une bonne table de la rue Saint-Louis devait être le cadeau de fête de Bruno. Portelance se sent coupable d’avoir ébranlé son jeune ami, le vieil homme sirote en solitaire un verre de vin capiteux. Après avoir mordu, sans appétit, dans son entrecôte de bœuf sur gril sauce poivrée, il se demande quand et comment il devra lui faire [une] prochaine annonce. »
Source photo :
Tripadvisor