Quelques
chapitres de Chronomeurtres ont pour
décor la troisième avenue dans le quartier Limoilou de Québec. Une rue marchande
où se côtoient des commerces de proximité, des restaurants, des bars. Un
secteur de la capitale où les promoteurs immobiliers ont eu carte blanche au
cours des années 1890 en s’inspirant « du
modèle quadrillé de New York, avec des rues (est-ouest) et des avenues
(nord-sud) où sont érigés des immeubles résidentiels, souvent en brique et de
plus de 3 étages. »
Dans
les années 80, la bijouterie-horlogerie Harvey fictive du roman a pignon sur
cette avenue, au 538. Bruno
Harvey y vivra depuis sa naissance jusqu’à l’âge de 24 ans. À noter que
dans les années soixante, cet édifice abritait effectivement un tel commerce.
Et, à cette époque, Norbert Dionne, alors jeune agent, a probablement patrouillé dans cette artère et, qui sait, a-t-il croisé au passage le père ou le grand-père de Bruno Harvey, peut-être lui-même.
Un
autre segment du roman se déroule à l’angle de la 3e avenue, de la 6e
rue et du chemin de la Canardière où se déroule le festival Limoilou en
musique.
Source : Wikipédia